Questões de Concurso Público SEAD-AP 2022 para Professor de Educação Básica - Língua Francesa

Foram encontradas 11 questões

Q2015916 Francês
Le début de l’enseignement formel du français au Brésil date de 1808, sous les auspices de D. João VI, devenant obligatoire dans le domaine scolaire en 1837, avec la fondation du Colégio Pedro II, en raison du prestige social de cette langue. Au XIXe siècle, quelles étaient les activités et les exercices privilégiés en classe de langue étrangère ?
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Q2015926 Francês
Cinquante ans après mai 68, le naufrage des
syndicats étudiants de gauche

Certains semblant espérer un nouveau Mai 68 en 2018, je souhaiterais par ces quelques lignes apaiser un peu leurs ardeurs. Car si un demi-siècle sépare les deux moments, tout distingue les étudiants et spectateurs d'hier et d'aujourd'hui. En revanche, ce qui n'a guère changé, c'est sans doute la complaisance du regard médiatique pour la sottise discursive et la violence des méthodes de ceux qui prétendent incarner le mouvement étudiant. La sottise pour commencer, et l'ignorance pour continuer. La revendication de certains étudiants hostiles à toute sélection d'obtenir au moins 10 de moyenne à leur examen (quand ce n'est pas 15 dans certaines facultés… «pour permettre aux étudiants de poursuivre le combat») ainsi que leur orthographe aurait dû déclencher un fou rire général. Il n'en a rien été et la plupart des journaux ont repris sans état d'âme cette revendication paresseuse du droit à la médiocrité comme s'il s'agissait d'une doléance professionnelle normale et respectable. S'agissant du mésusage de l'orthographe, je ne saurais trop recommander à mon lecteur rieur la visite du site de l'Union nationale des étudiants de France (UNEF). Le Canard Enchaîné qui a l'esprit blagueur s'est amusé à reproduire, entre autres perles de cancres : « des filières avec des qualités ou prérequis dont elles pensent disposer actuellement et tend à l'heure portée » (sic authentique). On sent bien que 50 ans d'éducation par l'école syndicalisée sont passés par là.

Gilles William Goldnadel, Cinquante ans après mai 68, le naufrage des syndicats étudiants de gauche, Le Figaro, en-ligne, 9 avr. 2018.
Quelle option résume le mieux l’idée centrale du texte ? 
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Q2015927 Francês
Cinquante ans après mai 68, le naufrage des
syndicats étudiants de gauche

Certains semblant espérer un nouveau Mai 68 en 2018, je souhaiterais par ces quelques lignes apaiser un peu leurs ardeurs. Car si un demi-siècle sépare les deux moments, tout distingue les étudiants et spectateurs d'hier et d'aujourd'hui. En revanche, ce qui n'a guère changé, c'est sans doute la complaisance du regard médiatique pour la sottise discursive et la violence des méthodes de ceux qui prétendent incarner le mouvement étudiant. La sottise pour commencer, et l'ignorance pour continuer. La revendication de certains étudiants hostiles à toute sélection d'obtenir au moins 10 de moyenne à leur examen (quand ce n'est pas 15 dans certaines facultés… «pour permettre aux étudiants de poursuivre le combat») ainsi que leur orthographe aurait dû déclencher un fou rire général. Il n'en a rien été et la plupart des journaux ont repris sans état d'âme cette revendication paresseuse du droit à la médiocrité comme s'il s'agissait d'une doléance professionnelle normale et respectable. S'agissant du mésusage de l'orthographe, je ne saurais trop recommander à mon lecteur rieur la visite du site de l'Union nationale des étudiants de France (UNEF). Le Canard Enchaîné qui a l'esprit blagueur s'est amusé à reproduire, entre autres perles de cancres : « des filières avec des qualités ou prérequis dont elles pensent disposer actuellement et tend à l'heure portée » (sic authentique). On sent bien que 50 ans d'éducation par l'école syndicalisée sont passés par là.

Gilles William Goldnadel, Cinquante ans après mai 68, le naufrage des syndicats étudiants de gauche, Le Figaro, en-ligne, 9 avr. 2018.
L’expression souligné dans la phrase « En revanche, ce qui n'a guère changé, c'est sans doute la complaisance du regard médiatique pour la sottise discursive et la violence des méthodes de ceux qui prétendent incarner le mouvement étudiant » c’est un cas de... 
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Q2015928 Francês
Cinquante ans après mai 68, le naufrage des
syndicats étudiants de gauche

Certains semblant espérer un nouveau Mai 68 en 2018, je souhaiterais par ces quelques lignes apaiser un peu leurs ardeurs. Car si un demi-siècle sépare les deux moments, tout distingue les étudiants et spectateurs d'hier et d'aujourd'hui. En revanche, ce qui n'a guère changé, c'est sans doute la complaisance du regard médiatique pour la sottise discursive et la violence des méthodes de ceux qui prétendent incarner le mouvement étudiant. La sottise pour commencer, et l'ignorance pour continuer. La revendication de certains étudiants hostiles à toute sélection d'obtenir au moins 10 de moyenne à leur examen (quand ce n'est pas 15 dans certaines facultés… «pour permettre aux étudiants de poursuivre le combat») ainsi que leur orthographe aurait dû déclencher un fou rire général. Il n'en a rien été et la plupart des journaux ont repris sans état d'âme cette revendication paresseuse du droit à la médiocrité comme s'il s'agissait d'une doléance professionnelle normale et respectable. S'agissant du mésusage de l'orthographe, je ne saurais trop recommander à mon lecteur rieur la visite du site de l'Union nationale des étudiants de France (UNEF). Le Canard Enchaîné qui a l'esprit blagueur s'est amusé à reproduire, entre autres perles de cancres : « des filières avec des qualités ou prérequis dont elles pensent disposer actuellement et tend à l'heure portée » (sic authentique). On sent bien que 50 ans d'éducation par l'école syndicalisée sont passés par là.

Gilles William Goldnadel, Cinquante ans après mai 68, le naufrage des syndicats étudiants de gauche, Le Figaro, en-ligne, 9 avr. 2018.
Dans la phrase « Le Canard Enchaîné qui a l'esprit blagueur s'est amusé à reproduire, entre autres perles de cancres », à quoi l’expression soulignée fait référence ?
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Q2015929 Francês
« Le Signe »

      La petite marquise de Rennedon dormait encore, dans sa chambre close et parfumée, dans son grand lit doux et bas, dans ses draps de batiste légère, fine comme une dentelle, caressants comme un baiser; elle dormait seule, tranquille, de l’heureux et profond sommeil des divorcées.

     Des voix la réveillèrent qui parlaient vivement dans le petit salon bleu. Elle reconnut son amie chère, la petite baronne de Grangerie, se disputant pour entrer avec la femme de chambre qui défendait la porte de sa maitresse.

      Alors la petite marquise se leva, tira les verrous, tourna la serrure, souleva la portière et montra sa tête, rien que sa tête blonde, cachée sous un nuage de cheveux:

      – Qu’est-ce que tu as, dit-elle, à venir si tôt? Il n’est pas encore neuf heures.

Guy de Maupassant, « Le Signe », Le Horla, Paris, Paul Ollendorff, 1887, p. 163-164.
Sur l’extrait du conte « Le Signe », de Guy de Maupassant, il est possible d’affirmer que les temps verbaux prédominant sont :
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6: E
7: E
8: D
9: B
10: B